79 research outputs found

    Mini-Open Latarjet Procedure for Recurrent Anterior Shoulder Instability

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    Anterior shoulder instability is a common problem. The Latarjet procedure has been advocated as an option for the treatment of anteroinferior shoulder instability. The purpose of this paper is to explain our surgical procedure titled “Mini-open Latarjet Procedure.” We detailed patient positioning, skin incision, subscapularis approach, and coracoid fixation. Then, we reviewed the literature to evaluate the clinical outcomes of this procedure

    Traitement de la gonarthrose post traumatique par arthroplastie (Ă  propos de 25 patients revus a moyen terme)

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    INTRODUCTION : La gonarthrose post traumatique fait suite à une fracture articulaire autour du genou ou à des lésions ligamentaires du pivot central. L arthroplastie est une solution thérapeutique possible. Les résultats fonctionnels sont inférieurs à ceux retrouvés dans la gonarthrose essentielle et le taux de complications est plus élevé. Le but de notre travail était d étudier les résultats fonctionnel, clinique et radiologique de l arthroplastie pour les gonarthroses post traumatique avancées. METHODES : Il s agit d une étude rétrospective et monocentrique. Nous avons inclus 25 patients d ùge moyen à la révision de 62 ans +/- 16 (34-89). Il s agissait entre 1996 et 2010 de 5 PUC, 10 PTG standard, 6 PTG postéro stabilisées et 4 PTG à Haute contrainte. Le délai moyen entre le traumatisme initial et la prothÚse était de 86 mois +/- 142(6-619). RESULTATS : Vingt -trois patients ont été revus avec un recul moyen de 7,2ans +/- 3,8 (3-16). Neuf patients (36%) ont présenté une complication : 3 patients ont nécessité une réintervention chirurgicale (un sepsis grave, une instabilité patellaire et une fracture de matériel), les autres n ont pas été réopérés (3 raideurs, 3 sepsis). Aucune usure du polyéthyléne ni descellement n ont été retrouvés. Le score IKS global a été amélioré, passant de 67 points +/- 36 à 173 points +/- 23. Le score KOOS global moyen était de 57 points +/- 19. Le gain de flexion moyen était de 12. CONCLUSION : Les arthroplasties dans les gonarthroses post traumatique donnent des résultats fonctionnels inférieurs aux gonarthroses dégénératives. Le taux de complications est plus élevé. Cependant, les patients sont satisfaits de leur intervention.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Évolution de la traumatologie des sports d'hiver (comparaison de deux sĂ©ries Ă  10 ans d'intervalle Ă  Grenoble (1998-1999 et 2008-2009))

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    L objectif de notre étude est d établir un recensement de la traumatologie des sports de glisse sur neige (ski alpin, ski de randonnée, snowboard et snowblade) et son évolution entre les saisons 1998/1999 et 2008/2009. Matériel et méthode : Matériel : Nous avons traité 1322 dossiers d accidentés de sports d hiver accueillis aux urgences de l hÎpital sud lors des saisons 1998-1999 et 2008-2009, puis nous avons comparé ces 2 séries. On remarque la prédominance du ski (77, 6 % des accidents en 1998-1999 et 71,8% en 2008-2009). Méthode : nous avons réalisé une étude épidémiologique rétrospective, en utilisant le test du chi 2 pour mettre en évidence des évolutions statistiquement significatives. Résultats : De façon globale nous avons mis en évidence une augmentation de la gravité des lésions périphériques. Cette proportion augmente lors de la saison 2008-2009 avec 28,5 % de lésions bénignes contre 71,5% de lésions graves p<0,001. En ce qui concerne le ski: Au niveau des membres : on note une augmentation de la proportion des atteintes du membre supérieur en 10 ans, de 29,1 % en 1998-1999 contre 35,06% en 2008-2009 p=0,054. Les lésions du genou en ski alpin restent majoritaires et se sont stabilisées sur ces 10 derniÚres années. En ce qui concerne le snowboard : Il s'est produit un glissement des lésions vers le haut avec une augmentation des atteintes du membre supérieur passant de 60,45% du total des lésions en 1998-1999 contre 81,29% du total en 2008-2009 p<0,001. Conclusion : Cette étude révÚle que la traumatologie des sports d hiver s est modifiée entre les saisons 1998-1999 et 2008-2009. Les résultats sont en accord avec les données de la littérature. Avec des lésions évoluant vers le haut du corps et vers plus de gravité du fait de l évolution du matériel, et des modifications des conditions de glisses (pistes plus larges, mieux damées, plus fréquentées).GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Hemiarthroplasty versus reverse shoulder arthroplasty in 4-part displaced fractures of the proximal humerus: Multicenter retrospective study

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    Introduction: Complex 4-part fractures of the proximal humerus are one of the most difficult fractures to manage. For several years, reverse total arthroplasty (RSA) has been proposed as an alternative to hemiarthroplasty (HA) when internal fixation is insufficient. The goal of this study was to compare the short and intermediate term results of these 2 different types of arthroplasty. Materials and methods: In a retrospective, multicenter study, 57HA and 41 RSA were reviewed after a follow-up of at least 2 years. The clinical evaluation was based on the absolute and adjusted Constant scores, Simple shoulder value (SSV) and the quick-DASH scores. The radiological assessment included standard radiological tests. Results: After a mean follow-up of 39 months, the RSA group had a significantly higher adjusted Constant score than the HA group (83% vs 73%, respectively P = 0.02). However, there was no significant difference in the absolute Constant score, the quick-DASH or the SSV scores. Active anterior elevation was better in the RSA group, while internal rotation was better in the HA group (130◩ vs 112◩, P = 0.01; sacrum vs L3, P = 0.03). There was no significant difference in external rotation (28◩ vs 23◩, P = 0.31). The rate of complications was higher in the HA group than in the RSA group (24% vs 10%, P = 0.01). The radiological rate of union of the greater tuberosity was similar in both groups (70%) and scapular notching was found in 23% of the RSA group. Conclusion: The short and intermediate term clinical outcomes are better with RSA than with HA. The complication rate is higher with HA. Nevertheless, scapular notching occurred in more than 20% of patients with RSA, suggesting that care should be taken when using this prosthesis in young, active patients

    Four-part fractures treated with a reversed total shoulder prosthesis: Prospective and retrospective multicenter study. Results and complications

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    Introduction: The reversed shoulder prosthesis is becoming the gold standard for cases of complex fracture of the proximal humerus after 70 years of age. Material and methods: The French Society of Orthopaedic and Traumatology Surgery (SOFCOT) conducted a prospective and retrospective multicenter study to evaluate the results of the reversed shoulder prosthesis implanted in patients with a four-part fracture in nine centers. In the retrospective study (n = 41 patients, 78 years of age, 14% ASA grade 3, 21% associated fractures) and in the prospective study (n = 32 patients, 79 years of age, 37% ASA grade 3, 21% associated fractures) evaluation by independent surgeons was conducted to measure the QuickDASH score, the Constant score, the SSV (subjective shoulder value), and complications to correlate these measurements with radiological results. Results: In both studies, use of an autograft (75%) to perform an osteosuture of tuberosities (90%) and no postoperative immobilization (75%) were similar. In the retrospective study at 39 months (range: 24–62 months) of follow-up, the QuickDASH reached 28 (range: 0–59), the Constant scores (raw Constant = 57, weighted Constant = 83.4%), and SSV 75 (range: 35–100). Complications after the 1st month (7%) were nonunion or ossifications. In the prospective study at 11 months (range: 5–16.5 months) of follow-up, the QuickDASH reached 40 (range: 1–75), the Constant scores 50 (raw Constant) and 74.6% (weighted Constant), and SSV 69 (range: 10–100). Complications after the 1st month (21%) were stiffness and dislocation, with two patients who underwent revision surgery. In both studies, early complications reached 6% (palsy, dislocation). Conclusion: This double (retrospective and prospective) study confirms the good results with a low level of complications of the reversed implant in cases of fracture but with osteosuture of tuberosities

    Ligamentoplastie de Mac Intosh renforcée au Fascia Lata dans les grandes laxités antérieures du genou (étude rétrospective à propos de 108 cas)

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    L'objectif de ce travail Ă©tait d'Ă©valuer les rĂ©sultats de l'intervention de Mac Intosh dans le cadre des grands laxitĂ©s antĂ©rieurs chroniques du genou. Il s'agit d'une Ă©tude rĂ©trospective portant sur 108 patients opĂ©rĂ©s entre 1995 et 1998 par un seul opĂ©rateur et selon une seule et mĂȘme technique. Les patients inclus dans l'Ă©tude prĂ©sentaient en prĂ©opĂ©ratoire une grande laxitĂ© dĂ©finie comme suit : laxitĂ© supĂ©rieure ou Ă©gale Ă  20 mm ou laxitĂ© diffĂ©rentielle par rapport au genou controlatĂ©ral supĂ©rieur Ă  ou Ă©gale Ă  10 mm. Ainsi nous avons pu revoir 71 des 108 patients de l'Ă©tude soit un taux de rĂ©vision de 66 %. La laxitĂ© moyenne prĂ©opĂ©ratoire mesurĂ©e Ă  l'aide de l'arthromĂštre KT 1000 Ă©tait de 17,96 +/- 3 mm (extrĂȘmes 13 Ă  30mn) en valeur absolue et de 12,6 +/- 2,3 mm (extrĂȘmes 9 Ă  21 mm) pour la diffĂ©rentielle par rapport au cotĂ© opposĂ©. Les recherches du ressaut selon la technique de Dejour ont rapportĂ© les rĂ©sultats suivants : 8 fois une croix, 56 fois deux croix et 44 fois trois croix. Les complications ont Ă©tĂ© rares et bĂ©nignes. Le recul moyen Ă©tait de 63,4 +/- 12,9 mois, avec des extrĂȘmes de 40 Ă  86 mois. La laxitĂ© post opĂ©ratoire absolue Ă©tait de 8,9 +/- 2,9 mm (extrĂȘmes 2 Ă  18 mm et l valeur diffĂ©rentielle de 2,6 +/- 2,3 mm (extrĂȘmes -2 Ă  8 mm). Le gain en laxitĂ© diffĂ©rentielle entre post opĂ©ratoire et prĂ©opĂ©ratoire Ă©tait donc de 10 mm en moyenne. Concernant le ressaut, 73,2 % des patients n'avaient plus de ressaut , Ă  deux croix. Les rĂ©sultats en terme de gain en laxitĂ© et en ressaut Ă©taient statistiquement significatifs. Subjectivement 90 % des patients Ă©taient satisfaits ou trĂšs satisfaits. Cette Ă©tude montre les bons rĂ©sultats de l'intervention de Mac Intosh dans les grandes laxitĂ©s antĂ©rieures du genou notamment en les comparant aux rĂ©sultats dans les petites laxitĂ©s.GRENOBLE1-BU MĂ©decine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La Chirurgie du ligament croisé antérieur (étude rétrospective comparative de trois techniques de ligamentoplastie, étude de 130 cas)

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    L'objectif de ce travail était de comparer les résultats fonctionnels et anatomiques de trois ligamentoplasties du ligament croisé antérieur, la plastie mixte intra et extra articulaire selon Mac Intosh, la plastie au DIDT (droit interne et demi tendineux) et la plastie au ligament rotulien (Kenneth Jones).Il s'agit d'une étude rétrospective non randomisée de 130 patients (60 DIDT, 45 Mac Intosh et 25 Kenneth Jones) opérés entre 1995 et janvier 2001 par Professeur D. Saragaglia. Cet échantillon correspond à une population choisie dont le critÚre de choix était une laxité différentielle inférieure ou égale à 10. Les trois populations étaient parfaitement homogÚnes. Pour le groupe Mac Intosh nous n'avons pas eu de complication sauf deux syndromes du cyclope (4,4 %) .La différence entre le coté opéré et le coté sain en post opératoire était de 1,59 +/- 2,07 au Lachman manuel maximum avec un recul de 65 mois en moyenne. Concernant le ressaut 91% des patients n'avaient plus de ressaut, 6,6 % un ressaut à une croix et 2.2 % un ressaut à deux croix. Du point de vue satisfaction 91 % des patients étaient satisfaits ou trÚs satisfaits du résultat. 65% des patients avaient repris le sport à un niveau identique ou supérieur (...) Le score IKDC subjectif était de 90 % en moyenne.Dans le groupe Kenneth Jones les suites ont été simples dans 92 % des cas, avec cependant 8 % de syndrome du cyclope .La différence entre le coté opéré et le coté sain en post opératoire était de 2,69 +/- 2,1 au Lachman manuel maximum, avec un recul de 13 mois en moyenne. Concernant le ressaut 56 % des patients n'avaient plus de ressaut, 40 % un ressaut à une croix et 4 % à deux croix. Du point de vue satisfaction 92 % des patients étaient satisfaits ou trÚs satisfaits du résultat. 64 % des patients avaient repris le sport à un niveau identique ou supérieur. Le score IKDC subjectif était de 83 % en moyenne mais avec un recul plus faible que les autres techniques. Au total, du point de vue anatomique l'intervention de Mac Intosh corrige mieux le ressaut que le DIDT et le Kenneth Jones, cette différence était statistiquement trÚs significative (p<0,0001), ainsi que la laxité antérieure (p=0,0044).GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les accidents de snowblade (étude épidémiologique rétrospective à propos de 109 accidents (janvier 1998 à mars 2003))

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    L'objectif de ce travail était de recenser les accidents de snowblade admis à l'HÎpital Sud de Grenoble, entre janvier 1998 et fin mars 2003, soit 6 saisons de sports d'hiver. Nous avons colligé 113 lésions pour 109 accidents chez 108 patients : 81 de sexe masculin (44 hommes et 37 garçons), 28 de sexe féminin (17 femmes et 11 filles), ùgés de 7 à 53 ans (ùge moyen 22,7 ans). La grande majorité était des débutants et il n'y avait pas de sportifs de compétition. Le mécanisme causal était la plupart du temps indirect (91,4%) avec seulement dans 3 cas une collision. 4 avaient une lésion associée (Traumatisme crùnien avec (1) et sans (1) perte de connaissance, disjonction acromio-claviculaire (1), luxation spontanément réduite de la rotule (1)). En ce qui concerne le bilan de toutes les lésions, nous avons colligé 24 lésions des membres supérieurs (21,2%), 86 lésions des membres inférieurs (76,1%), et 3 lésions de l'axe du corps (2,7%). Les types de lésions se regroupent essentiellement en deux catégories : les fractures -90 blessés (82,6%)- et les entorses -16 blessés (14,7%)-. Les fractures de jambe concernent 60 patients (53,1%), les entorses du genou -14 patients (12,4%)- dont 2 (1,8%) avec une entorse grave, les lésions de la cheville -6 patients (5,3%)-, les fractures du groupe avant-bras, poignet -10 patients (8,8%)- et les lésions de la ceinture scapulaire -10 patients (8,8%)-. Au total, il ressort de cette étude que la lésion spécifique du snowblade est la fracture de jambe (53,1%).GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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